INCERTITUDES

Questionnements, recherches et quotidien. Nuages, intempéries et bouillonnements. Sourires, joies et bonheurs.

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Emplacement : Québec, Canada

Je suis le reflet de la perception de mes semblables.

30.9.06

L’hiver & le printemps

Tu le côtoyais à l’occasion depuis quelques temps déjà mais tu ne l’avais pas remarqué auparavant. Physiquement il n’était pas du type à te faire tourner la tête sur son passage. Pour le reste, tu ne savais pas car tu n’avais jamais eu l’occasion de lui parler. Un homme parmi d’autres hommes…

Et puis, par ce fameux jeudi de septembre, au hasard d’une discussion sur d’autres sujets, une amie qui le connaissait bien te parle de lui. Selon elle, c’est un homme très intéressant : sociable, beaucoup d’humour, positif, dynamique, sensible, sérieux, avec un cœur grand comme cela, un sourire à faire craquer toutes les femmes et primordial : célibataire. Ta curiosité s’aiguise. Malgré ta disponibilité rien ne t'avait attiré à prime abord chez lui. Et voilà qu’au gré de cette discussion tu commences à ouvrir un plus grand les yeux…

Un jour, par hasard, toi et lui vous retrouvez au même endroit, en même temps. L’amie commune est là aussi. Et voilà que le plus naturellement du monde, la discussion s’engage entre vous trois. Pas de gêne, aucun malaise, juste des gens qui parlent de tout et de rien et rigolent ensemble. L’énergie passe, tout coule, c’est simple. Lors de cet échange, tu constates qu’effectivement il a une charmante personnalité. Et c’est justement ce moment qu’il choisit pour te faire rire pour la première fois. Et tu ris, non pas d’un rire poli mais plutôt en de grands éclats assez puissants pour surprendre les gens qui te connaissent. C'est incontestable, le charme de Monsieur opère…


En quelques autres occasions vous vous croisez de nouveau. Souvent il n'y a que vous deux, sans témoin. Quelques mots, regards échangés et toujours cette facilité à communiquer, tu es fascinée. Et ce sourire à faire fondre un iceberg! Ton cœur veut craquer plus d'une fois. Tu le retiens. Tu sais qu’il est fragile et peut facilement perdre contrôle. Tu imagines pour te calmer que Monsieur se comporte toujours ainsi en présence féminine. Les paroles d’une chanson de Reggiani commencent à résonner de plus en plus souvent en toi: « Elle est jolie, comment peut-il encore lui plaire, elle au printemps, lui en hiver ». C’est que beaucoup d’années vous séparent…


Les jours passent, tu arrives à effacer ces moments de ta mémoire… ou presque. Un vendredi soir de novembre le téléphone sonne : c’est lui. La conversation se nourrit, tout simplement, exactement comme lors de vos premières rencontres. Il est intéressé à te connaître davantage. Et voilà que débute tout doucement une grande aventure à deux basée sur la compréhension, l’amitié, la tendresse et l’honnêteté. Celle-ci se terminera bien des années plus tard. La fin de cet homme que tu as tant aimé viendra la clore. Il était ton cadet de treize années mais il partira le premier. Le hasard a de ces destinées! Ta vie avec lui fût heureuse et remplie. Cet amour inattendu t’auras comblé en tous points.


Tu demeures si reconnaissante à la vie de t’avoir gâtée ainsi.
Tu n’oublieras jamais que si Monsieur n’y avait pas cru, cette relation n’aurait jamais eu l’espace pour naître et pour ensuite mourir.


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23.9.06

Il est officiellement parmi nous!


Quelques indices de l'impermanence...


Recueillis ce matin sur mon terrain.

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22.9.06

Le deuil


En observant les évènements qui se déroulent dans le monde et autour de moi, je constate que le processus psychologique du deuil ne peut débuter que lorsque la preuve de la mort a été obtenue. Ceci s'applique autant pour la mort physique que pour la mort d'une relation entre les personnes. Que de souffrances pour tous ces gens qui attendent encore!

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20.9.06

Mouvements émotifs


États brumeux
États colorés
Au gré des soubresauts du robot penseur
Fragilité de la rose
Force de la perception juste
Sourire revenu
Rire intérieur qui se recharge...

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18.9.06

Femme forte

Parfois c’est moi que la confiance abandonne
Je glisse, je perds pied
Je m’accroche pour ne pas m’effondrer
Tous ces gestes posés
Dont j’ignore la motivation
Un même message
Qui semble se répéter

Ne pas m’accrocher
Ne jamais croire à l’acquis
Laisser s’envoler les mots
Ne pas m’y attacher
Vivre le moment présent
Accepter de ne pas savoir

Observer la réaction
Pour amorcer la réflexion
Pardonner l’imperfection
Ne pas m’imaginer coupable
Ne pas me croire victime
Accueillir l’indifférence
Écouter le silence et
Éviter de lui prêter une intention
Accepter sans comprendre


Apprendre dans l’ignorance...

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17.9.06

Il était une fois

C’était il y a plusieurs mois de cela maintenant.
Ils se sont rencontrés par hasard dans une discothèque du centre-ville. Elle était célibataire depuis trois mois à peine, lui depuis tellement longtemps à son avis qu’il n’osait plus que donner une réponse évasive lorsqu’on lui posait la question. Ils étaient beaux et jeunes, la vingtaine à peine entamée, tant d’expériences à vivre encore! Pendant cette première soirée où des regards furent échangés et quelques mots prononcés directement à l’oreille en raison des bruits ambiants, elle avait senti quelque chose de spécial. Lui s’était donné l’air indifférent du gars en contrôle, de l’homme avec un grand H. Il était avec ses « chums » et ne se permettait pas d’avoir l’air ébranlé.
À la fin de la soirée, avant de quitter l’endroit en compagnie de ses copines, elle lui avait demandé son numéro de téléphone et l’avait noté sur un bout de papier froissé. Elle lui avait offert le sien et il l’avait noté aussi, toujours avec cet air de celui qui en a vu d’autres. Ils s’étaient ensuite lancés, comme il est d’usage, l’habituel : « On se rappelle ».
Les jours ont passé, bien lentement pour elle. Elle pensait beaucoup à lui. Il n’était pas vraiment son genre, un peu trop jeune, une peu trop « bâti » mais elle l’avait trouvé tellement gentil!


C’est à ce moment qu’elle a commencé à me demander conseil à propos de leur rencontre. Après cette année à travailler côte à côte, j’étais devenue sa confidente. Elle me percevait comme une sorte de modèle ou quelque chose du genre en raison des quinze années qui nous séparaient. J’avais appris à la connaître, la comprendre, la ressentir. Et la voilà anxieuse, à se demander qu’est-ce qui lui arrivait. Elle venait de quitter une relation qui ne fonctionnait plus depuis longtemps et ne croyait pas que son cœur était déjà prêt à aimer. Mais elle était réellement attirée par ce gars. Je voyais dans ses yeux une étincelle que je ne connaissais pas. Je sentais dans ses mots toute l’hésitation des sentiments confus. « Devrais-je l’appeler? Ça fait déjà plus de cinq jours. Il ne m’a pas téléphoné, penses-tu que j’aurais l’air stupide si je le contactais? Habituellement, si le gars n’appelle pas c’est qu’il ne veut rien savoir, non?». Je lui ai dit simplement : « Oublie les idées reçues, les « il faudrait » et les « je devrais » et fait ce qui te parle à l’intérieur. » Elle lui a téléphoné dans les minutes qui ont suivi. Encore une fois, il a joué l’indifférent mais a tout de même accepté l’invitation. Par la suite ils ont continué à se fréquenter de plus en plus assiduement. Chaque jour maintenant, elle arrivait au travail avec ce sourire caractéristique de l’amour naissant qui ne la quittait plus. Elle n’avait jamais rencontré quelqu’un avec qui elle partageait tant d’affinités!
Après quelques semaines, un jour, le fameux sourire avait disparu. « Je lui ai demandé si j’étais sa blonde officielle mais il continue de me répondre non. Il dit qu’on est bien alors pourquoi se donner des étiquettes. Mais moi, je le considère comme mon chum maintenant, pourquoi pas lui? » Je lui ai répondu que son copain me semblait avoir une sage attitude. Ils étaient bien ensemble, pratiquement inséparables, pourquoi le forcer à se placer tout de suite dans une case. Je lui ai mentionné que la gent masculine possède une faculté innée à conserver un certain contrôle sur ses sentiments que nous les femmes, avons de la difficulté à saisir. Je lui ai suggéré de se retenir de demander sans arrêt à son copain s’ils étaient un couple « officiel » et de m’apporter cette question à chaque jour au travail pour me la poser à moi. C’est ce qu’elle a fait. Deux semaines plus tard, lors d’un repas de famille, il l’a présenté à tous les gens présents comme étant "sa copine". Elle rayonnait!


Ensuite vint la question du « je t’aime ». Elle lui disait souvent qu’elle l’aimait mais pas lui. Elle le questionnait régulièrement à ce sujet ce qui le rendait encore moins enclin à prononcer ces paroles qui pour elle, avaient tant de signification. Je lui ai parlé encore des hommes, lui ai dit qu’ils ne vivent pas les choses comme les femmes, que pour eux l’amour s’exprime autrement. Je lui ai souligné que les mots ne sont pas la réalité et que la réalité n'a pas toujours besoin de mots. Je lui ai signalé combien il semblait tenir à elle considérant ce qu'il entreprenait jour après jour pour lui plaire et la rendre heureuse. L’amour dans l’action. Elle avait raison, c’était un sacré bon gars! Elle a alors cessé de lui demander s’il l’aimait. Quelques semaines plus tard, après avoir regardé un film ensemble confortablement installés au salon, il lui a prit les deux mains l’a regardé dans les yeux et lui a dit les paroles tant espérées. Elle ne portait plus au sol!

C’était il y a plusieurs, plusieurs mois maintenant. Elle a continué de m’apporter ses confidences au travail. J’ai continué de lui parler à partir de ce que je ressentais en l’écoutant. Ils discutent maintenant d’aller vivre ensemble, de s’acheter une maison, d’avoir des enfants. Je suis vraiment heureuse pour elle. Elle semble avoir rencontré une personne qui la complète vraiment. Le plus important pour moi est de constater combien ses yeux sont toujours aussi brillants et que le fameux sourire ne la quitte plus. Elle a appris à lui laisser prendre tout l’air dont il a besoin pour être lui-même. Elle a appris à lui donner des ailes. Je suis vraiment fière d’elle! Je lui souhaite tout, elle le mérite.

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16.9.06

Et si…

J’ai eu la nausée une partie de la semaine en voyant et en entendant les medias au sujet de la fusillade de mercredi dernier.

D’abord et comme ceci semble maintenant la règle, une overdose de couverture : trop de tout et trop de rien en même temps.
Ensuite, un enchevêtrement de déductions et de liens développés pour hausser les cotes d'écoute et soulever les réactions d’une population rendue totalement confuse à force d’être bombardée de toutes parts.
Troisièmement, on en profite pour se faire un peu de capital politique. Pourquoi pas, toutes les occasions sont bonnes après tout! Et on en rate rarement une pour passer un ou deux projets de loi en douce.
Spécialistes et connaissants de toutes professions sont invités à émettre leurs opinions. Et ils émettent à souhait! Ils se vautrent dans leurs émissions. On dépeint un monstre, un homme déséquilibré, un marginal irrécupérable. On détaille ses goûts, ses habitudes, sa tenue vestimentaire. On le case dans des modèles que la société veut réprimer. Cette homme est différent. On finit par le ranger dans la boîte de la personnalité déterminée du tueur potentiel.
Le quidam est gavé, y croit et est ravi! Il peut maintenant se défouler de toutes ses précieuses opinions et verser sa rage sur quelque chose qu’il juge tangible.
Condamnons le coupable, nous avons trouvé le méchant! Il doit être lynché! Même que cette fois-ci il n’a pas été nécessaire de le faire car il semble s’en être chargé lui-même. On s’en soulage : on se dit que voilà une autre preuve de sa réelle déviance.

Et si les « gothiques » étaient des tueurs potentiels….
Et si les amateurs de musique heavy metal étaient des tueurs…
Et si les gens qui participent au site vampirefreaks.com étaient des…
Et si tous les détenteurs d’armes à feu étaient…

???

Et si mon voisin qui porte un habit bleu et des bas bruns était un tueur potentiel…
Et si mon ami qui écoute de la musique classique à longueur de journée était un tueur…
Et si ceux qui émettent leurs opinions sur le site de radio-canada étaient des…
Et si ceux qui possèdent des couteaux de boucherie étaient…


Et si…LENCE SVP!

L’équilibre mental est bien fragile. Aucun d’entre nous peut garantir le sien pour tout le reste de son séjour sur cette terre. Avant de pointer l’autre, il y a beaucoup d’autres perspectives à envisager.

Et si…
On pouvait seulement arrêter la grosse machine pour quelques minutes. Juste prendre le temps de penser à tout cela avant de commencer à parler. Nous réaliserions peut-être que la responsabilité commence ici et maintenant. La réflexion aussi. Ce qui nous entoure est et sera toujours le reflet de ce que nous sommes comme êtres humains. Même si notre esprit veut toujours tout diviser, nous faisons partie de ce monde où tout est interrelié.


Et à cette règle, il demeurera à jamais impossible d'échapper...


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15.9.06

Silence et absence





Le silence est un message difficile mais combien parlant.


C'est toujours dans l'absence que l'on découvre la richesse d'une présence.




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11.9.06

Il y a cinq ans…

9h05,
je recevais un appel, mon copain de l’époque.
Il était à l’aéroport de Montréal et venait d’être évacué de l’avion dans lequel il prenait place. Son vol était à destination de New York. Il se rendait à un événement corporatif dans des bureaux situés à quelques mètres des tours jumelles. À 9h00, l’ordre avait été donné d’annuler tous les vols. Le départ de son vol, sur les ailes de United Airlines, était planifié pour 9h10….

Ce matin-là, comme je l’avais déposé à l’aéroport, je rentrais au travail plus tard. J’étais donc à la maison entrain de me préparer au moment de son appel. Il m’a simplement dit d’une voix tendue : « Ouvre la télévision! ». Je l’ai ouvert. Je suis restée bouche bée… La première tour venait d’être touchée… Nous étions toujours en ligne ensemble, extrèmement nerveux, émus, sans mot. Nous réalisions en même temps tous les deux que nous aurions pu ne plus jamais nous revoir.
Il est revenu à la maison en taxi. Pendant ce temps, l’horreur a continué. J’étais debout au milieu du salon, mon mascara à la main, rivée à la télévision, avec la radio ouverte en même temps. J'étais estomaquée, des larmes coulaient silencieusement sur mes joues. À cette époque, je travaillais dans une des plus hautes tour du centre-ville de Montréal. J’ai téléphoné à mon patron : on évacuait les bureaux. Je n'irais pas travailller ce jour-là. Il me disait qu'une forme de panique commençait à envahir le centre-ville : « Et si c’était le début d’une guerre contre l’Amérique… Et si Montréal était aussi visé… ». Nous ne savions pas, nous étions nous aussi, des victimes potentielles. Je me souviens d’avoir entendu très différemment les bruits incessants des avions et des hélicoptères au dessus de la ville cette journée-là. Je réalisais notre vulnérabilité. La perspective changeait.

Je peux imaginer plus aisément ce que vivent les populations de pays en guerre depuis ces évènements. Maintenant, j’écoute encore le son des avions dans le ciel d’une autre façon. J'entends et j'observe différemment ce qui m'entoure. Je sens que nous sommes de moins en moins à l’abri de tout cela. Mais individuellement, le réalisons-nous vraiment? Je ne crois pas...

Mon copain est arrivé à la maison vers 10h30 ce matin-là. Nous nous sommes serrés très fort et avons longtemps pleuré à chaudes larmes… Nous sentions que nous ne serions plus jamais les mêmes à partir de ce jour.

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10.9.06

À l’aube de la quarantaine…ou presque!


Une année de plus sur cette terre a débutée hier. Avec le changement des chiffres au compteur des années, la machine à réflexions s’est activée.

Je me rend compte que plus j’avance en âge, plus j’ai de la facilité à me souvenir de certains évènements de ma jeunesse et en même temps, de certaines pensées que j’entretenais à l’époque.

Au début de la vingtaine, j’imaginais me marier bientôt, avoir probablement deux enfants, vivre dans une grande maison loin de la ville et posséder un chalet près d’un beau lac paisible pour mes escapades de fin de semaine. Le modèle traditionnel quoi! À cette époque je ne pouvais envisager d’aucune manière comment cette existence qui est la mienne me conduirait sur d’autres chemins.

Avec un peu de recul, j'observe aujourd’hui les parcours que j’ai empruntés, les montagnes russes de mon expérience, pour réaliser que ceux-ci furent bien différents de l’histoire que je me racontais. En regardant cela, je ne sens pas de regret, aucune amertume, juste une drôle d’impression d’étrangeté… Un peu comme si je secouais la tête pour chasser un étourdissement et que la sensation demeurait présente.

Mon parcours n’est visiblement pas empreint des modèles traditionnels de notre société. Il a été et se poursuit encore sur un petit sentier qui contourne les chemins les plus fréquentés. Il les croise à l’occasion mais parvient très rarement à les emprunter. Trop droits, trop égalisés, trop réguliers, trop, trop, trop… Ils ne semblent pas faits pour moi. Le chemin de Clau n’est pas cela.
Ceux qui observent des croyances me diront que c’est mon « karma », mon « destin », le « parcours que Dieu avait décidé pour moi ». Personnellement, je crois de moins en moins à un but, un rôle ou une destinée. Il m’apparaît que nous sommes nés pour vivre et survivre un point c’est tout. Le reste, on se l’invente pour donner un sens à tout ce non sens. À quoi tout cela servirait sinon!

Je pensais cette semaine que le prochain modèle dans lequel je risque d'entrer est celui de « vieille fille » et ceci me faisait rire! Je suis heureuse de mon chemin de vie. Bien sûr, je suis sans cesse rattrapée par le prêt à penser se plaisant à me répéter : « Tu as quelque peu raté ton coup ma chère ». Mais, j’apprend tranquillement à saisir son petit jeu et à ne plus le laisser éteindre l’étincelle qui subsiste en moi et me permet de savourer ce cadeau magnifique qu’est la vie!

Merci à tous les cocos et les cocottes qui ont souligné mon anniversaire et m’ont offert leurs regards, leur tendresse et leurs câlins démontrants ainsi le plus grand sentiment que l’être humain connaisse!


À bientôt.

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1.9.06

Poupées Vaudou


Pour 10 dollars, vous trouverez sur eBay des poupées « collègues » réalisées par UDo VooDooz : « le cadeau idéal pour tout employé qui ne supporte plus l’un de ses collègues… » Pour les adeptes de la méthode, procurez-vous toute la panoplie avec les poupées « retraités » et les poupées « jeunes mariés ».


Suggestion pour une politique mondiale: Est-ce qu'on pourrait en donner une à chaque être humain pour l'aider à apprendre à gérer ses frustrations? Comme les conflits débutent à petite échelle, on parviendrait peut-être ainsi à en éviter quelques-uns.

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