Nature et culture
Aujourd’hui, une petite souris m’a souri
Du haut de ses cinq mois et demi, son sourire de petite souris m’a séduit
Dans ses grand yeux bleus, j’ai vu l’innocence
Non pas l’innocence béate de l’ignorance
Mais plutôt l’Innocence avec un grand I, celle de l’insouciance
La pureté d’un petit être humain qui a confiance en la vie,
Qui transpire une énergie lumineuse.
Elle a confiance,
Elle déborde de confiance!
Pour elle, tous ceux qui l’entourent sont des bons et des gentils.
Elle ne connaît ni la crainte, ni le doute,
Ni la pudeur, ni l’hésitation
On l’embrasse, on la cajole, on accourt à ses moindres gazouillements.
C’est une princesse, c’est une reine de perfection!
Elle n’a pas encore d’histoire pour marquer et masquer ses actions.
Le langage n’a pas encore forgé sa pensée.
Elle ne sait pas encore comment se comportent ceux qui marchent et qui parlent.
Elle ne connaît ni la rigidité de la pensée, ni la soif de pouvoir, ni l’égocentrisme, ni l’hypocrisie.
Est-ce que la nature humaine est cette petite souris qui m’a souri?
Où se situe la frontière entre la nature et la culture?
Est-ce la culture qui transforme cette beauté?
À quel moment se brise la pureté de l’enfant?
En terme de conditionnement, à quel moment se distingue l’inné de l’acquis?
Je ne sais pas.... Je ne sais pas...
Il est tard, je vais me coucher… On dit que la nuit porte conseil…!!
Du haut de ses cinq mois et demi, son sourire de petite souris m’a séduit
Dans ses grand yeux bleus, j’ai vu l’innocence
Non pas l’innocence béate de l’ignorance
Mais plutôt l’Innocence avec un grand I, celle de l’insouciance
La pureté d’un petit être humain qui a confiance en la vie,
Qui transpire une énergie lumineuse.
Elle a confiance,
Elle déborde de confiance!
Pour elle, tous ceux qui l’entourent sont des bons et des gentils.
Elle ne connaît ni la crainte, ni le doute,
Ni la pudeur, ni l’hésitation
On l’embrasse, on la cajole, on accourt à ses moindres gazouillements.
C’est une princesse, c’est une reine de perfection!
Elle n’a pas encore d’histoire pour marquer et masquer ses actions.
Le langage n’a pas encore forgé sa pensée.
Elle ne sait pas encore comment se comportent ceux qui marchent et qui parlent.
Elle ne connaît ni la rigidité de la pensée, ni la soif de pouvoir, ni l’égocentrisme, ni l’hypocrisie.
Est-ce que la nature humaine est cette petite souris qui m’a souri?
Où se situe la frontière entre la nature et la culture?
Est-ce la culture qui transforme cette beauté?
À quel moment se brise la pureté de l’enfant?
En terme de conditionnement, à quel moment se distingue l’inné de l’acquis?
Je ne sais pas.... Je ne sais pas...
Il est tard, je vais me coucher… On dit que la nuit porte conseil…!!
Libellés : Poésie réflexions et autres divagations
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