Toi
Les minutes, les heures et les journées défilent
Tu te fais silence
Encore et sans répit, tu reviens en moi
Ta voix, ton visage, ton corps, ton odeur
La sensation de tes mains sur ma peau
Je te vois, je te sens, je te ressens
Parfois objet de désir
Souvent objet d’angoisse ou de crainte
Je me retrouve face à cette réalité qui me pèse
Ces mois de complicité ont créé la reconnaissance
La tendresse et l’attachement
Et maintenant, cette lourde absence
J’aimerais tant avoir le contrôle de ces émotions
Pouvoir te laisser te dissoudre
Comme une simple idée passagère
Mais il y a de ces pensées
De celles qui se juxtaposent aux sentiments
Dont on perd totalement le contrôle
Car elles possèdent une empreinte quasi indélibile
Elles se font récurrentes et parviennent à miner le quotidien
Même par la volonté de la raison
Elles demandent une éternité
Avant de ne plus hanter le mental entêté
Difficulté à accepter l’état actuel de notre histoire
Cette indéfinition que j’appréciais jadis
Est devenue imprécision m'obsédant maintenant trop souvent
Il y a évidemment des moments ou j’arrive à continuer
Sans savoir, sans être rassurée
Mais il y en a d’autres ou je ne fais que rêver
De pouvoir enfin connaître la suite
Que cette histoire puisse soit se vivre, soit se terminer
Ou du moins emprunter une avenue plus définie
Seulement savoir…
Car de trop penser, ma tête veut parfois éclater.
Tu te fais silence
Encore et sans répit, tu reviens en moi
Ta voix, ton visage, ton corps, ton odeur
La sensation de tes mains sur ma peau
Je te vois, je te sens, je te ressens
Parfois objet de désir
Souvent objet d’angoisse ou de crainte
Je me retrouve face à cette réalité qui me pèse
Ces mois de complicité ont créé la reconnaissance
La tendresse et l’attachement
Et maintenant, cette lourde absence
J’aimerais tant avoir le contrôle de ces émotions
Pouvoir te laisser te dissoudre
Comme une simple idée passagère
Mais il y a de ces pensées
De celles qui se juxtaposent aux sentiments
Dont on perd totalement le contrôle
Car elles possèdent une empreinte quasi indélibile
Elles se font récurrentes et parviennent à miner le quotidien
Même par la volonté de la raison
Elles demandent une éternité
Avant de ne plus hanter le mental entêté
Difficulté à accepter l’état actuel de notre histoire
Cette indéfinition que j’appréciais jadis
Est devenue imprécision m'obsédant maintenant trop souvent
Il y a évidemment des moments ou j’arrive à continuer
Sans savoir, sans être rassurée
Mais il y en a d’autres ou je ne fais que rêver
De pouvoir enfin connaître la suite
Que cette histoire puisse soit se vivre, soit se terminer
Ou du moins emprunter une avenue plus définie
Seulement savoir…
Car de trop penser, ma tête veut parfois éclater.
Libellés : États d'âmes
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